Le Maroc participe au Salon International de l’Agriculture (SIA) de Paris en tant que pays à l’honneur, du 22 février au 2 mars 2025. À cette occasion, un partenariat stratégique a été signé pour promouvoir l’innovation dans le secteur de l’agriculture numérique.
Un partenariat clé pour l’AgriTech entre le Maroc et la France
Dimanche dernier, le Maroc et la France ont signé une convention de partenariat. Cet accord vise à renforcer la coopération franco-marocaine dans l’AgriTech. Le ministre de l’Agriculture, Ahmed El Bouari, était présent lors de la signature.
Objectifs du partenariat
L’accord entre “La Ferme Digitale” et le Pôle Digital du ministère marocain de l’Agriculture a pour objectif d’échanger des technologies agricoles et de transférer des compétences. Il favorisera également la visibilité des startups et des entreprises innovantes dans les deux pays.
Des projets concrets pour transformer l’agriculture
Loubna El Mansouri, directrice du Pôle Digital, a précisé l’objectif du partenariat : utiliser les technologies comme l’IA, l’IoT et le Big Data pour améliorer l’agriculture. “Nous cherchons à produire plus avec moins de ressources”, a-t-elle expliqué.
Projets à venir
Deux projets concrets seront présentés : l’un au Salon International de l’Agriculture de Meknès (SIAM), l’autre lors de la journée annuelle de La Ferme Digitale (LFD).
Une vision partagée pour une agriculture durable
Le Maroc, à travers la Stratégie Génération Green 2020-2030, s’engage à intégrer la digitalisation dans l’agriculture. “Notre objectif est d’optimiser les ressources et de faciliter la traçabilité des produits”, a souligné le ministre El Bouari.
Coopération renforcée avec la France
La France et le Maroc partagent une vision commune pour une agriculture plus innovante et résiliente. Le partenariat permettra de renforcer la coopération pour améliorer les pratiques agricoles et la gestion des ressources.
Conclusion : Un avenir commun pour l’agriculture numérique
Lors de la table ronde, des experts et des représentants des deux pays ont discuté des actions à entreprendre : partage de technologies, développement de formations en AgriTech, et facilitation de l’accès au financement pour les startups.