La récente attaque israélienne contre le sud du Liban et l’escalade des tensions avec le Hezbollah ont soulevé de nombreuses questions et discussions sur la position de « l’axe de la résistance », en particulier l’Iran, la Force Qods et le régime syrien, dans leur soutien au Hezbollah face à cette situation. agression.
Certains militants pensent qu’Israël a ouvert le front nord dans le but d’afficher sa force militaire et technologique, mais cela peut refléter une faiblesse stratégique en termes de planification et de vision. D’autres ont remis en question le manque d’intervention active de l’Iran dans cette escalade, notant qu’Israël n’aurait pas pris la décision d’ouvrir le front nord s’il s’était attendu à une réponse ferme de l’Iran.
Certains s’accordent à dire que l’Iran pourrait abandonner son soutien au Hezbollah à ce stade dans le but de réaliser des gains liés aux négociations sur le dossier nucléaire ou d’étendre son influence dans la région. Cette idée est liée à l’analyse selon laquelle l’Iran pourrait être disposé à faire des concessions tactiques s’il estime que cela sert ses intérêts à long terme. Certains blogueurs ont posé une question cruciale : « Et si l’Occident répondait aux demandes de l’Iran concernant le dossier nucléaire et se retournait finalement contre lui et détruisait ses installations nucléaires ?
Ce débat reflète la division sur la stratégie de l’axe de la résistance face aux défis israéliens, et la mesure dans laquelle ces forces oscillent entre le soutien de leurs alliés et les manœuvres pour obtenir de plus grands gains aux niveaux régional et international.