En novembre 2023, Nissim Faturi, vice-président de la Knesset israélienne, a publié un tweet incendiaire dans lequel il appelait à « effacer la bande de Gaza de la surface de la Terre », déclenchant une vague de colère généralisée qui a incité la plateforme « X » à supprimez le tweet.
Ces déclarations interviennent au moment où l’armée israélienne menait des raids sur Gaza en réponse à une attaque du Hamas en octobre 2023. La Cour internationale de Justice a cité les déclarations de Fatori dans une affaire de génocide intentée par l’Afrique du Sud contre Israël, où une décision provisoire a été publié en janvier 2024 exigeant qu’Israël interdise les déclarations incendiaires.
Outre Fatori, le ministre israélien de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, était l’un des responsables qui ont fait des déclarations controversées. Ben Gvir a appelé à encourager les Palestiniens à quitter Gaza et à installer des Israéliens à leur place, ce que l’organisation « Loi pour la Palestine » considère comme faisant partie du nettoyage ethnique, tandis qu’Anne Herzberg, consultante juridique, a déclaré que ces déclarations ne s’élèvent pas au niveau d’un génocide. .
La discussion comprenait également des déclarations de religieux israéliens tels que le rabbin Eliyahu Mali, qui, lors d’une conférence, a appelé à « ne laisser aucune âme en vie » dans le contexte des guerres saintes. Ses déclarations ont suscité des critiques et des soupçons quant à son incitation à la violence et au génocide.
Dans le même temps, les médias ont indiqué que les médias israéliens avaient appelé à une politique dure à l’égard de Gaza, et que des enregistrements de soldats israéliens célébrant la destruction de Gaza ont été diffusés. L’armée israélienne a confirmé qu’elle examinait ces informations et enquêtait sur ce comportement inapproprié.
Cette affaire continue de susciter un large débat sur l’incitation au génocide, et la Cour internationale de Justice continue d’examiner ces questions, tandis que les experts et observateurs des droits de l’homme continuent de suivre de près l’évolution de la situation.