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Rabat : M. Sekkouri s’entretient avec la ministre du Travail palestinienne

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Le ministre de l’Intégration économique, de la petite entreprise, de l’emploi et des compétences, Younes Sekkouri, a reçu, ce mardi à Rabat, la ministre du Travail palestinienne, Inas Al-Attari. Cette rencontre a permis d’explorer les moyens de renforcer la coopération entre les deux parties dans les domaines de la formation professionnelle et de l’emploi.

Lors d’une déclaration à la presse, Sekkouri a souligné que les discussions avaient porté sur l’activation des accords signés entre le Maroc et l’Autorité nationale palestinienne, afin de permettre aux frères palestiniens de bénéficier de l’expérience marocaine dans les secteurs de l’industrie et de l’emploi.

Il a également noté que la visite de la ministre palestinienne revêtait une “haute symbolique”, mettant en lumière les échanges autour de divers programmes liés à l’emploi et à la formation professionnelle. Il a été particulièrement souligné l’intérêt marqué du côté palestinien pour les métiers technologiques, favorisant ainsi l’accès aux marchés mondiaux.

D’autre part, Sekkouri a mentionné le programme “Awrach” et le rôle crucial de l’Agence nationale de promotion de l’emploi et des compétences dans la création d’emplois à court terme.

Pour sa part, la ministre palestinienne, Inas Al-Attari, a exprimé que ces discussions avaient porté sur les opportunités de coopération, notamment dans le partage d’expertises dans le secteur de l’emploi, afin d’offrir des perspectives professionnelles aux jeunes Palestiniens et de réduire le taux de chômage parmi eux.

Elle a également fait part de son espoir de renforcer la coopération avec le Maroc en s’inspirant de l’expérience du Royaume dans la création d’emplois.

La ministre palestinienne avait visité l’Institut de formation aux métiers de l’industrie automobile à la commune de Aamer Sufliya à Kénitra, où elle a pris connaissance de l’expérience marocaine dans ce domaine. Elle a également visité la Ville des métiers et des compétences à Tamesna, qu’elle a qualifiée de “modèle à suivre” en matière de formation professionnelle, en raison de sa capacité à s’adapter aux besoins du marché du travail.

poup

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