Le Soudan est confronté à une crise économique étouffante en raison d’une baisse significative de la valeur de la livre soudanaise par rapport aux devises étrangères. Il s’agit d’une baisse sans précédent qui provoque une hausse significative des prix des biens et des services, augmentant ainsi la pression sur les citoyens. d’autant plus que beaucoup souffrent de conditions économiques difficiles en raison de la guerre en cours dans le pays.
La monnaie soudanaise a enregistré une baisse significative par rapport au dollar et aux autres devises étrangères, le prix du dollar ayant atteint des niveaux très élevés par rapport aux conditions précédentes. Ce déclin reflète les graves pressions économiques auxquelles le pays est confronté..
Cette détérioration de la valeur de la livre soudanaise semble être le résultat de plusieurs facteurs, notamment une baisse des recettes publiques provenant des taxes, des douanes, etc., ainsi qu’une augmentation de la demande de devises sur le marché parallèle. L’impact de la guerre en cours dans le pays renforce également ce déclin, car elle provoque une paralysie presque complète des secteurs de l’agriculture et de l’élevage, entraînant une détérioration de l’économie en général.
Les autorités soudanaises prennent des mesures imminentes pour faire face à cette détérioration, notamment en coordination avec d’autres agences gouvernementales pour mettre un terme à la détérioration rapide du taux de change et mettre en place des politiques et procédures monétaires efficaces pour faire face aux fluctuations économiques. Toutefois, les défis restent importants et nécessitent des efforts conjoints pour les affronter et les surmonter.
Les effets négatifs de cette baisse soudaine de la valeur de la livre soudanaise comprennent une augmentation des prix des biens et services, une pénurie de l’offre et une détérioration du pouvoir d’achat des citoyens. Il est nécessaire de trouver des solutions globales à ce problème, qui incluent la restructuration de l’économie, l’amélioration de la productivité et l’augmentation des investissements, en plus du soutien aux secteurs les plus touchés par la crise.