Des chercheurs de l’Université Rutgers ont découvert qu’une protéine produite par des vers parasites dans l’intestin, appelée TGM, accélère la cicatrisation des plaies chez la souris et favorise la régénération de la peau tout en réduisant la formation de tissu cicatriciel.
La protéine agit en se liant au récepteur TGF-B des cellules du corps, reprogrammant ainsi les cellules immunitaires pour favoriser la régénération des tissus et réduire les cicatrices.
Cette découverte améliore la possibilité d’utiliser la protéine comme thérapeutique pour favoriser la cicatrisation des plaies chez l’homme et fournit un cadre important pour le développement de nouveaux traitements basés sur des composants naturels des helminthes.
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