À Washington, lors du Sommet mondial du numérique, la ministre Amal El Fallah Seghrouchni a souligné que le Maroc adopte une approche hybride pour l’Intelligence Artificielle (IA), visant à allier souveraineté et interopérabilité.
Cette stratégie permet aux États de contrôler leurs données sensibles tout en participant à un écosystème IA mondial ouvert et sécurisé.
Le Maroc, qui a lancé le plus grand datacenter d’Afrique en 2020, prévoit d’accueillir un centre d’excellence de l’ONU pour l’IA.
Le pays ambitionne de figurer parmi les leaders africains de la digitalisation d’ici 2030. En parallèle, il soutient une IA éthique à travers des initiatives au sein de l’UNESCO et des Nations Unies. Le gouvernement modernise également les infrastructures numériques pour soutenir des événements mondiaux, comme la Coupe d’Afrique 2025 et la Coupe du monde 2030.