L’économie israélienne souffre de pertes continues en raison de la guerre en cours dans la bande de Gaza, qui a entraîné une augmentation des dépenses publiques et une baisse de la cote de crédit du pays. En février dernier, Moody’s a abaissé la note de crédit d’Israël pour la première fois, invoquant les risques politiques et financiers résultant de la guerre.
Principaux impacts économiques :
- Dégradation de la cote de crédit :
- Moody’s : a abaissé la note de crédit d’Israël en raison de risques accrus.
- Fitch : Il a indiqué qu’il s’attend à une augmentation du déficit budgétaire, puisqu’il prévoit un déficit de 6,8% du budget général pour l’année 2023.
- Déficit budgétaire:
- Déficit attendu : Le déficit total est estimé à 33 milliards de dollars pour cette année.
- Perspectives d’avenir : Fitch s’attend à un déficit de 3,9 % en 2025, contre une prévision précédente de 2,8 %. On estime que le pourcentage de déficit du produit intérieur brut atteindra 65,7% au cours de l’année en cours.
- Augmenter les dépenses publiques :
- Dépenses militaires : Les dépenses de guerre ont augmenté de 12,5 % au cours de l’année écoulée.
- Coût de la guerre : Le coût de la guerre est estimé à 69,8 milliards de dollars pour la période 2023 à 2025.
Impact sur le budget :
- Augmentation du déficit : La guerre a considérablement augmenté le déficit budgétaire, nécessitant des mesures fiscales strictes pour faire face aux effets économiques.
- Défis futurs : Le gouvernement israélien devrait être confronté à des difficultés majeures dans la gestion du budget et du déficit fiscal dans les années à venir.
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