À la lumière de la guerre et des destructions en cours dans la bande de Gaza, les institutions gouvernementales fonctionnent exceptionnellement bien pour garantir la fourniture continue de services de base aux citoyens malgré les circonstances difficiles. Ces institutions se réorganisent dans des lieux alternatifs tels que les associations de la société civile, et continuent de fournir leurs services nécessaires tels que la délivrance de documents officiels et le traitement des transactions légitimes.
Le travail des tribunaux de la charia :
- Les tribunaux de la charia continuent de fonctionner malgré les bombardements et le danger imminent. Seuls les cas urgents tels que mariage, divorce, restriction successorale et autres arguments juridiques sont pris en compte.
- Des milliers de transactions ont été réalisées pendant la guerre, notamment la documentation des mariages et des divorces.
Extraction de documents officiels :
- Il est facilité l’obtention de documents tels que des actes de naissance et de décès, des cartes d’identité et des transactions de « remplacement » résultant de la destruction de maisons et de la perte de documents due aux bombardements.
- Les autorités gouvernementales cherchent à fournir ces services malgré le manque de ressources, notamment en papier nécessaire à l’impression des documents.
Défis et exigences de la guerre :
- Les bombardements israéliens ont délibérément visé les sièges gouvernementaux et civils, entraînant la destruction d’infrastructures ainsi que la mort et l’arrestation de nombreux employés du gouvernement.
- Malgré cela, le ministère de l’Intérieur et d’autres ministères continuent de fonctionner selon un plan d’urgence, avec des dizaines de milliers de transactions réalisées chaque mois.
Services en cours et interrompus :
- Les services de base tels que les soins de santé, la sécurité, la police et les services municipaux continuent.
- Certains services comme l’éducation et l’agriculture ont été arrêtés à cause de la guerre.
Le gouvernement de Gaza s’efforce de maintenir la continuité de ses activités et de fournir des services de base bien qu’il soit directement visé par l’occupation, en s’appuyant sur un plan d’urgence pour garantir que la vie publique reste aussi viable que possible.