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Les candidats à la présidence tunisienne accusent les autorités de les harceler

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La Tunisie connaît une atmosphère tendue à l’approche des élections présidentielles prévues le 6 octobre 2024, alors qu’un certain nombre de candidats ont accusé les autorités de les harceler et de tenter de les exclure. Voici les points les plus importants liés à la déclaration et aux élections :

Déclaration commune des candidats :

  • Signataires : 11 candidats ont signé la déclaration, dont Al-Safi Saeed, Abdul Latif Al-Makki, Ghazi Al-Shawashi, Lotfi Al-Maraihi, Kamal Al-Akrout et Nizar Al-Shaari.
  • Accusations :
    • Harcèlement et violations : Ils ont accusé les autorités de les exclure délibérément des élections, notant le refus de remettre la « carte numéro 3 », document nécessaire à l’inscription aux élections.
    • Intervention du ministère de l’Intérieur : Ils ont considéré que le refus de remettre des documents constituait une violation de leurs droits civils et politiques et constituait une opportunité d’employer illégalement des agences de l’État.
    • Arrestation des coordonnateurs : Ils ont condamné l’arrestation des coordonnateurs de collecte des références, et ont exigé leur libération et la restitution des recommandations saisies.

Accusations portées contre les candidats :

  • Ghazi Al-Shawashi : Détenu pour « complot contre la sécurité de l’État ».
  • Lotfi Al-Maraihi : Détenu pour « corruption financière ».
  • Abdul Latif Al-Makki : Sous restriction médiatique dans le cas du décès d’un ancien prisonnier.

Positions des autorités :

  • Président Kais Saied : Il a annoncé sa candidature à un second mandat présidentiel et a adressé de sévères critiques à ses opposants, les accusant de conspirer contre le pays.

Les défis du processus électoral :

  • Procédures de nomination : Les candidats ont estimé que la Commission électorale complique les procédures de nomination d’une manière qui contredit la loi électorale et qu’il existe une complicité dans le traitement des violations.

Appels à intervention :

  • Autorités et tribunal administratif : Les candidats ont appelé les autorités locales et les médias à faire preuve d’impartialité, et ont appelé le tribunal administratif à faire sa part pour garantir l’intégrité du processus électoral.

Evolutions attendues :

Les forces politiques tunisiennes cherchent à résoudre la crise et à garantir l’intégrité des élections, tandis que les autorités font face aux critiques des candidats et de l’opposition concernant la transparence du processus électoral.

poup

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