L’assassinat du chef du bureau politique du Hamas, Ismail Haniyeh, à Téhéran, a suscité de nombreuses réactions de la part des dirigeants et pays arabes et internationaux, qui ont condamné l’incident et mis en garde contre ses répercussions sur l’avenir de la région.
L’Iran
- Le président iranien Masoud Pezeshkian: Il a pleuré son partenaire de chagrins et de joies, le chef de la résistance palestinienne, Ismail Haniyeh, soulignant que l’Iran défendrait l’intégrité de ses terres et ferait regretter aux envahisseurs terroristes leurs actions lâches.
- Le dirigeant iranien Ali Khamenei : Il a souligné que la vengeance de l’assassinat de Haniyeh était le devoir de l’Iran et il a estimé que l’entité sioniste avait ouvert la voie à des sanctions sévères.
Qatar
- Premier ministre qatari et ministre des Affaires étrangères, Cheikh Mohammed bin Abdul Rahman : Il a critiqué les assassinats et l’escalade, soulignant que la paix régionale et internationale a besoin de partenaires sérieux et d’une position internationale contre l’escalade.
- Le ministère qatari des Affaires étrangères : a condamné dans les termes les plus fermes l’assassinat de Haniyeh et a estimé que le ciblage par Israël des civils à Gaza conduirait la région à sombrer dans la violence et saperait les chances de paix.
Liban
- Hezbollah libanais : Il a décrit Haniyeh comme l’un des grands dirigeants de la résistance, soulignant que son martyre augmenterait la détermination de la résistance à poursuivre la voie du jihad.
Turquie
- Le président turc, Recep Tayyip Erdogan : Il a fermement condamné l’assassinat, estimant que l’assassinat vise à briser la volonté du peuple palestinien, mais que la « barbarie sioniste » n’atteindra pas ses objectifs.
- Le ministère turc des Affaires étrangères : Il a considéré l’assassinat comme une opération ignoble visant à étendre la portée de la guerre de Gaza au niveau régional, indiquant que le gouvernement Netanyahu n’a aucune intention de parvenir à la paix.
Jordan
- Le ministère jordanien des Affaires étrangères a fermement condamné l’assassinat de Haniyeh et a considéré ce qui s’est passé comme une escalade du crime qui entraînera davantage de tensions et de chaos dans la région.
Russie
- Le ministère russe des Affaires étrangères : a qualifié l’assassinat de totalement inacceptable et susceptible de conduire à une nouvelle escalade, appelant toutes les parties à faire preuve de retenue.
Chine
- Le ministère chinois des Affaires étrangères : a fermement condamné l’assassinat, avertissant que cela conduirait à une plus grande instabilité dans la région, et a appelé à un cessez-le-feu et à l’adoption d’une résolution des différends par la négociation et le dialogue.
Yémen
- Le groupe Houthi : a décrit l’assassinat comme un crime terroriste odieux et une violation flagrante du droit international, et a considéré le martyre de Haniyeh comme une grave perte pour la nation.
Afghanistan
- Le mouvement Taliban : a considéré le martyre de Haniyeh comme une grande perte pour la nation, soulignant que la poursuite des crimes du régime sioniste rendra la région plus turbulente.
Ces réponses reflètent la colère généralisée et la dénonciation de l’assassinat de Haniyeh, mettant en garde contre l’escalade des tensions et de la violence dans la région à la suite de cet incident.
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