Les plateformes de médias sociaux ont été remplies d’images des deux massacres commis par Israël à Mawasi Khan Yunis et dans le camp de plage de la bande de Gaza, où 90 Palestiniens ont été martyrisés et 289 autres blessés. La diffusion de ces images a déclenché un état de colère parmi les pionniers du monde virtuel en raison des crimes odieux commis par Israël contre la population de Gaza depuis plus de 9 mois.
Réactions de colère
Les tweeters ont exprimé leur mécontentement face aux tentatives visant à justifier ces massacres. Ce qui a le plus irrité les militants, c’est l’accent mis par certains récits sur les affirmations de Tel Aviv justifiant le massacre de Mawasi Khan Yunis, ignorant l’ampleur du crime et le qualifiant de crime de guerre.
Sarcasme et questions
Un militant a utilisé le sarcasme pour poser la question : comment commettre un massacre justifié ? Il a répondu qu’Israël prétendait qu’il s’agissait de l’assassinat d’un haut responsable des rangs des Brigades Izz al-Din al-Qassam, ce qui préoccupe le monde d’examiner le succès de cet assassinat. Puis Tel-Aviv commet un nouveau massacre, oubliant le massacre précédent, et la cascade de sang continue sans s’arrêter à Gaza.
Justifications de l’occupation
Israël a publié que le ciblage des tentes de personnes déplacées à Mawasi Khan Yunis visait Muhammad Al-Deif, et un activiste de Gaza a décrit cette affirmation comme une propagande malveillante visant à détourner l’attention du massacre dans une zone déclarée sûre.
Fuite d’informations
Les blogueurs ont exprimé leur étonnement devant la rapidité avec laquelle les informations ont été divulguées à la presse israélienne et internationale sur l’assassinat de dirigeants palestiniens dans les premières secondes de chaque attaque violente. Ils se demandent comment les médias pourraient connaître immédiatement la cible de l’attaque, alors qu’aucune déclaration officielle israélienne n’a été publiée sur cet assassinat ou sur une tentative d’assassinat à l’avenir.
Cibler les fuites
Selon les militants, le but de ces fuites est de changer la donne et de justifier l’attaque, et de mettre les solidaires des Palestiniens dans un état de trouble pour détourner leur attention, comme cela s’est produit il y a quelques semaines au Beach Camp avec Raed Saad. Israël a publié sa photo et affirmé qu’il avait été arrêté lors de l’opération militaire dans le complexe de Shifa, puis a nié la nouvelle.
Influence médiatique
Cette analyse montre comment les médias sont utilisés pour couvrir et justifier les crimes militaires, et comment les fuites d’informations peuvent fausser l’opinion publique et affecter les efforts de solidarité avec les Palestiniens.