Le Maroc poursuit sa transformation structurelle dans le domaine des infrastructures, grâce à la Vision claire et ambitieuse de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Le Royaume s’est imposé comme une plateforme stratégique en Afrique, favorisant la connectivité, l’intégration régionale et l’attractivité économique.
Depuis plusieurs années, d’importants projets structurants ont été lancés dans les secteurs portuaire, routier, ferroviaire, aéroportuaire et logistique. Ces investissements visent à accompagner la croissance économique, réduire les disparités régionales et soutenir l’inclusion sociale.
Des ports de classe mondiale
Le complexe portuaire Tanger Med, devenu le premier port d’Afrique et de la Méditerranée, illustre cette ambition. Avec une capacité dépassant les 10 millions de conteneurs EVP en 2024, il est aujourd’hui un moteur de l’économie nationale et un pôle industriel majeur, regroupant plus de 1 100 entreprises.
D’autres projets d’envergure sont en cours, comme le port Dakhla Atlantique, destiné à stimuler le développement des provinces du Sud, et Nador West Med, infrastructure stratégique conçue pour désengorger Tanger Med et favoriser l’émergence industrielle de la région de l’Oriental.
Un réseau routier en forte expansion
Depuis 1999, le réseau autoroutier marocain est passé de moins de 100 km à plus de 1 850 km. Des projets comme l’élargissement de l’axe Rabat-Casablanca ou l’autoroute Guercif-Nador témoignent de cette dynamique. Le programme de routes rurales a, lui, permis de désenclaver des milliers de localités.
Des aéroports modernisés pour un Maroc plus ouvert
Le Royaume a aussi investi dans l’extension et la modernisation de ses aéroports, notamment ceux de Marrakech, Fès, Rabat, Agadir et Casablanca. L’ambitieuse stratégie “Aéroports 2030” prévoit d’augmenter la capacité d’accueil de 30 à 80 millions de passagers par an, en ligne avec les besoins croissants liés au tourisme et à la logistique, notamment à l’approche de la Coupe du Monde 2030.
Le train à grande vitesse, symbole de modernité
Avec Al Boraq, première ligne à grande vitesse d’Afrique inaugurée en 2018 entre Tanger et Casablanca, le Maroc a franchi un cap historique. Ce projet a réduit de moitié le temps de trajet et marqué un tournant pour la mobilité nationale. Une extension vers Marrakech est désormais en cours pour renforcer cette dynamique.
Un modèle salué à l’international
Grâce à cette stratégie proactive, le Maroc figure régulièrement parmi les pays africains les mieux classés en matière de qualité des infrastructures. La Présidente de la Banque européenne d’investissement (BEI), Nadia Calviño, a salué cette approche axée sur la durabilité, l’inclusion et l’efficacité.
Sous l’impulsion royale, le Maroc continue de bâtir des infrastructures modernes, durables et compétitives, au service du développement national et de son rayonnement international.
