L’Organisation arabe pour le développement industriel, de normalisation et des mines (AIDSMO) et l’Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole (OAPEC) ont conclu, mercredi à Rabat, un mémorandum d’entente visant à renforcer leur partenariat stratégique.
Un partenariat axé sur la coopération scientifique et technique
Ce document a été signé par le directeur général de l’AIDSMO, Adel Saker, et le secrétaire général de l’OAPEC, Jamal Essa Al Loughani. Il a pour objectif principal de dynamiser la coopération scientifique, technique et en matière de recherche entre les deux organisations.
Les parties aspirent également à promouvoir l’intégration industrielle, minière et énergétique dans le monde arabe, en tirant parti des ressources et méthodes disponibles.
Une ambition partagée pour l’innovation et la durabilité
Lors de son intervention, M. Saker a salué cette initiative comme le fruit d’une collaboration constructive. Il a souligné que ce mémorandum reflète l’engagement commun des deux institutions à offrir des solutions innovantes et durables pour renforcer les secteurs clés.
Il a également félicité M. Al Loughani pour le 57ᵉ anniversaire de l’OAPEC et pour ses efforts visant à repositionner cette organisation comme un acteur de premier plan dans le domaine de l’énergie arabe.
Renforcer les capacités techniques et technologiques
De son côté, M. Al Loughani a mis en avant l’importance de cet accord pour développer les compétences techniques et technologiques des deux entités. Il a précisé que ce partenariat permettra d’échanger des études, rapports et publications, tout en menant des activités conjointes adaptées aux priorités définies par les deux parties.
Il a également insisté sur la nécessité de renforcer la communication officielle pour garantir un suivi efficace et une mise en œuvre rapide des dispositions prévues par l’accord.
Cet accord marque une étape importante dans la coopération arabe en matière d’industrie, de mines et d’énergie. Il incarne une volonté commune de promouvoir l’intégration régionale et de relever les défis techniques et technologiques à l’échelle régionale.