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Accueil A La Une Soufisme au Sénégal : un équilibre entre spiritualité et politique

Soufisme au Sénégal : un équilibre entre spiritualité et politique

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Le Centre Islamique Serviteur des Deux Saintes Mosquées au Cameroun... un pôle islamique et éducatif mis en place par le Royaume L

La société sénégalaise maintient un équilibre unique entre le système laïc et le rôle prédominant des ordres soufis, qui imposent leur rythme spirituel dans le paysage public du pays. Les ordres soufis au Sénégal, comme les Tijaniya et les Muridiyya, font partie intégrante de l’identité religieuse et culturelle de la société sénégalaise, à travers laquelle l’Islam n’est connu que.

La Tijaniya, avec ses différentes branches, joue un rôle majeur sur la scène religieuse et politique au Sénégal. Parmi ces branches, se distingue l’Ordre Abrahamique, fondé par Cheikh Ibrahim Nias dans la ville de Kolkh. Il s’est transformé en un centre spirituel qui attire des centaines de milliers de visiteurs chaque année et continue d’avoir une profonde influence en Afrique de l’Ouest et au-delà. .

Tijaniya Ibrahimi est considérée comme une force électorale majeure et influence la politique et la diplomatie informelles, ce qui en fait l’un des acteurs les plus importants dans la protection du tissu social et politique au Sénégal. Cette méthode continue également de jouer son rôle dans la diffusion de l’éducation islamique et le renforcement de l’identité culturelle face aux influences étrangères, comme le francophone.

La présence des Tijaniya et d’autres ordres soufis au Sénégal représente un modèle de coexistence et d’interaction religieuses et politiques, tout en maintenant le rôle de la spiritualité en tant qu’élément essentiel de l’identité nationale.

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