Le conseiller à la sécurité nationale de Kamala Harris, Phil Gordon, a annoncé que Harris ne soutenait pas un embargo sur les armes contre Israël, soulignant son engagement à soutenir Israël dans sa légitime défense contre l’Iran et les groupes qu’il soutient. Cette déclaration intervient dans le contexte de sa campagne électorale pour la présidence américaine, où elle fait face à des pressions de la part de la démocratie, notamment à la lumière de l’escalade de l’agression israélienne contre Gaza.
À Détroit, Harris a été chahuté par des manifestants pro-palestiniens lors d’un rassemblement électoral, où ils scandaient contre ce qu’ils appelaient le génocide. Harris leur a répondu que la poursuite de cette approche contribuerait à la réélection de Donald Trump, reflétant les tensions internes liées à la position américaine sur le conflit israélo-palestinien.
D’autre part, le secrétaire américain à la Défense Lloyd Austin a téléphoné à son homologue israélien Yoav Gallant, où il a discuté des changements dans la localisation des forces américaines au Moyen-Orient et a souligné l’importance de parvenir à un accord de cessez-le-feu à Gaza. Austin a également indiqué que l’envoi d’avions F-22 dans la région visait à dissuader les agressions et à protéger Israël et les forces américaines.
Pendant ce temps, Israël poursuit sa guerre contre Gaza, qui a entraîné la mort et les blessures de milliers de Palestiniens, pour la plupart des enfants et des femmes, en plus de la poursuite des opérations militaires israéliennes en Cisjordanie et à Jérusalem-Est.