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« Le sang des dirigeants alimente la résistance. » Les tweeters pleurent Ismail Haniyeh.

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Les pionniers des réseaux sociaux ont réagi à la nouvelle du martyre du chef du bureau politique du Hamas, Ismail Haniyeh, dans la capitale iranienne, Téhéran, mercredi matin, envoyant des messages de condoléances et louant sa fermeté et ses contributions à la résistance palestinienne.

Interagissez sur les réseaux sociaux

L’un des tweeters a déclaré : « Sans le martyre d’Ahmed Yassin, nous n’aurions pas été témoins de l’héroïsme et de l’affliction d’Ismail Haniyeh », exprimant sa fierté pour les sacrifices des dirigeants de la résistance. D’autres ont souligné que le martyre des dirigeants est la preuve de la bonne voie et de leur engagement en faveur de la cause de la libération de la Palestine. Ils ont mentionné que des dirigeants tels qu’Ahmed Yassin, Al-Rantisi, Omar Al-Mukhtar, Izz al-Din al-Qassam, Hamza bin Abdul Muttalib et Anas bin al-Nadr sont des modèles de lutte et de résistance.

La fermeté de la résistance malgré les assassinats

Certains militants ont ajouté que l’assassinat de dirigeants ne mettrait pas fin à la résistance, soulignant que la résistance est une idée enracinée dans les générations et que l’idée ne meurt pas. Ils considèrent que le fait de réussir à produire de nouveaux dirigeants après chaque assassinat prouve l’institutionnalisation de la résistance et la force de son organisation.

Un défi pour l’Iran

Des tweeters ont souligné que l’assassinat de Haniyeh à Téhéran constitue un défi clair et explicite lancé à l’Iran, surtout après l’assassinat du deuxième homme du Hezbollah, Fouad Shukr. Ils pensaient que Gaza, malgré les ravages qu’elle avait subis, avait montré qu’elle était plus sûre pour ses dirigeants que les capitales mondiales.

Histoire des assassinats

D’autres ont déclaré qu’Israël avait commencé sa série d’assassinats depuis les années 1960, ciblant les dirigeants de la résistance à l’intérieur et à l’extérieur de la Palestine. Ils ont évoqué l’assassinat de Fathi Al-Shaqaqi, Khalil Al-Wazir, Ahmed Yassin, Al-Rantisi, Abu Ali Mustafa et Abu Ammar, s’interrogeant sur la faisabilité de ces opérations et leur impact sur l’affaiblissement de la résistance.

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