- Le nombre de personnes arrêtées au Bangladesh a atteint environ 2 500, en raison des violences qui ont accompagné les manifestations contre les quotas d’emploi dans les administrations publiques.
- Les violences ont entraîné la mort de plus de 174 personnes, dont des policiers.
Actions gouvernementales :
- Décision judiciaire:
- La Cour suprême a rendu le mois dernier une décision visant à rétablir un système de quotas qui attribue environ 60 % des emplois gouvernementaux à des personnes spécifiques.
- Le gouvernement avait aboli les quotas en 2018, mais la Cour suprême les a récemment rétablis.
- Certification gouvernementale :
- Le gouvernement dirigé par le Premier ministre Sheikh Hasina devrait ratifier la décision judiciaire mardi, répondant ainsi à une demande clé des manifestants.
- Cette décision sera annoncée au Journal officiel et constitue une mesure considérée comme une réponse aux revendications des manifestants.
- Réactions:
- La Première ministre Sheikh Hasina a accusé ses opposants politiques d’incitation à la violence.
- Le couvre-feu imposé depuis vendredi dernier sera progressivement allégé à mesure que la situation s’améliore.
Répercussions internationales :
- Évacuation des citoyens :
- La Malaisie a rejoint les pays qui tentent d’évacuer ses citoyens du Bangladesh, avec l’arrivée d’un vol dédié à Kuala Lumpur.
- L’Inde a annoncé le retour d’au moins 4 500 étudiants indiens du Bangladesh.
Les revendications des manifestants :
- Principales commandes :
- Abolition du système de quotas d’emploi.
- Des excuses publiques du Premier ministre.
- Réouverture des campus universitaires fermés en raison des violences.
Cette évolution reflète l’impact des manifestations sur la situation interne et les politiques gouvernementales au Bangladesh, ainsi que les influences internationales sur cette situation.
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