Vendredi matin, les ordinateurs qui s’appuient sur la technologie CrowdStrike ont été plongés dans le chaos mondial, avec des écrans confrontés à ce que l’on appelle l’écran bleu de la mort (BSOD). Cet incident a causé des dommages considérables à de nombreuses agences et institutions gouvernementales du monde entier qui dépendent du système Windows.
Détails de la crise
- Raison : Les enquêtes ont révélé que la cause de la crise était une mise à jour corrompue envoyée par un nouvel employé de Crowd Strike au service Falcon Go de l’entreprise. Cette mise à jour n’affectait que les appareils Windows et non les appareils Mac et Linux.
- Réponse : Le problème a amené Microsoft à rejeter la faute sur CrowdStrike, qui a nié toute responsabilité dans le dysfonctionnement, ce qui a accru les répercussions de la crise sur l’entreprise.
- Effets : La crise a entraîné une baisse du titre CrowdStrike de 14%, malgré la reprise observée les mois précédents.
Réactions
- Déclarations officielles : George Kurtz, PDG de CrowdStrike, a confirmé que la crise n’était pas le résultat d’une cyberattaque, mais plutôt d’un dysfonctionnement de la mise à jour du logiciel.
- Impact sur les marchés : La crise a affecté négativement la valeur des actions CrowdStrike, alors même qu’elles étaient dans une période de hausse notable.
Systèmes de frappe de foule
- Fonction : CrowdStrike offre une protection de haut niveau aux ordinateurs et aux points de terminaison des réseaux en installant un petit logiciel appelé Falcon Go, qui analyse les ordinateurs contre les virus et les cyber-risques en se connectant aux systèmes cloud de l’entreprise.
- Coût : Le service coûte environ 60 $ par an et par appareil.
L’erreur de CrowdStrike a montré à quel point les dernières technologies peuvent échouer de manière inattendue, reflétant à quel point nous dépendons de la technologie dans notre vie quotidienne.
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