La région de Gofa, dans le sud de l’Éthiopie, a été témoin d’une tragique catastrophe naturelle, faisant au moins 55 morts dans des glissements de terrain qui ont suivi de fortes pluies lundi. Les opérations de secours sont toujours en cours et le nombre de morts devrait s’alourdir, selon les déclarations des autorités locales.
Détails de l’accident
- Localisation : District de Gofa, situé à environ 450 kilomètres de la capitale, Addis-Abeba.
- Dégâts humains : Un responsable local a confirmé que le nombre de victimes pourrait augmenter, notant qu’il y a de nombreuses femmes et enfants parmi les morts. Les opérations de recherche de survivants et de récupération des corps se poursuivent.
- Scènes tragiques : Des photos publiées par les autorités locales montraient des rassemblements d’habitants au pied d’une montagne couverte d’arbres et de mauvaises herbes, et une grande partie de la montagne avait été séparée par des toboggans. Les habitants essayaient de creuser l’épaisse argile rouge avec des outils manuels à la recherche de survivants.
- Absence des services d’urgence : Les photos ne montrent pas la présence d’aucun service d’urgence dans la zone sinistrée, ce qui augmente la difficulté des opérations de secours et de secours.
Défis et besoins
- Défis : Des conditions géographiques difficiles et le manque de services d’urgence entravent les efforts de secours.
- Besoins : Il existe un besoin urgent d’aide humanitaire d’urgence, notamment d’équipes de secours et de secours équipées, ainsi que d’une aide médicale et alimentaire pour les personnes touchées.
Réponse locale et internationale
- Réponse locale : Les autorités locales poursuivent leurs efforts de sauvetage malgré des défis majeurs.
- Soutien international : L’Éthiopie devrait demander une aide internationale pour renforcer les efforts de secours et la réponse à cette catastrophe.
Les glissements de terrain dus à de fortes pluies constituent un défi majeur dans de nombreuses régions montagneuses d’Éthiopie, et cet incident met en évidence la nécessité d’améliorer les infrastructures et la planification pour faire face aux catastrophes naturelles à l’avenir.
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