L’étude que j’ai mentionnée met en évidence l’importance du design urbain dans ses effets sur la santé de la population et la qualité de l’environnement. Voici quelques points clés tirés de l’étude :
- Des villes plus vertes et moins densément peuplées : affichent des taux de mortalité plus faibles et des niveaux de pollution atmosphérique plus faibles. Cela améliore la qualité de vie et réduit le risque de maladies liées à la pollution.
- Villes compactes à haute densité : ont des taux de mortalité plus élevés, souffrent d’effets d’îlot de chaleur urbains négatifs et de la pollution de l’air causée par une utilisation intensive de la voiture et des infrastructures denses.
- Effets d’îlot de chaleur urbain : Ces effets provoquent une augmentation des températures dans les villes compactes, les rendant plus chaudes par rapport aux zones rurales environnantes.
- Empreinte carbone : Les villes compactes peuvent avoir une empreinte carbone par habitant plus faible malgré leur densité, en raison de l’accent mis sur la durabilité et la mobilité publique.
- La nécessité de modèles urbains durables : Les villes compactes et à faible densité servent de modèle pour les villes futures, avec des défis liés à la promotion de la mobilité durable, à l’amélioration de la qualité de l’air et à la préservation de l’environnement.
Cette étude souligne l’importance de la conception urbaine dans la création d’environnements sains et durables pour les résidents, et renforce la nécessité de prendre en compte l’équilibre entre la densité de population, les espaces verts et la qualité de l’air, afin de garantir une vie saine et durable aux citoyens à l’avenir.
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