La décision de limiter l’importation de voitures électriques en Jordanie aux voitures d’origine européenne et américaine n’a fait que susciter un grand mécontentement sur le marché local, notamment parmi les commerçants et les investisseurs travaillant dans le domaine des voitures électriques.
D’une part, la décision témoigne de l’engagement de la Jordanie envers les normes de sécurité mondiales, qui visent à protéger les consommateurs et à assurer leur sécurité lorsqu’ils utilisent des voitures électriques. Cependant, il semble que la décision n’ait pas amélioré l’équilibre entre sécurité et économie, ce qui a suscité de nombreuses critiques de la part des parties concernées.
D’un autre côté, certains concessionnaires et investisseurs considèrent que la décision vise à protéger et à réaliser des gains pour les concessionnaires automobiles officiels, au détriment d’une concurrence libre et loyale sur le marché. Cela reflète les craintes que le marché intérieur ne soit trop tendu et inégal.
Il convient de noter que les voitures électriques chinoises, très populaires en Jordanie en raison de leurs prix abordables, ont été exclues de l’importation en raison de cette décision, ce qui pourrait avoir un impact négatif sur les choix des consommateurs et entraver l’adoption des technologies de véhicules électriques dans le pays.
Le gouvernement jordanien doit prendre en compte les effets négatifs potentiels de cette décision sur l’économie et la société locales et rechercher des solutions qui équilibrent la sécurité et l’économie, afin d’encourager la compétitivité et de renforcer l’utilisation de technologies propres sans compromettre les droits fondamentaux et besoins des consommateurs et des investisseurs.
