La nouvelle met en lumière les développements récents dans les tentatives visant à arrêter la guerre contre Gaza et à reprendre les négociations entre les parties impliquées. Le conseiller américain à la sécurité nationale, Jake Sullivan, a confirmé que la proposition à laquelle le président Joe Biden a fait référence dans son discours est la proposition qu’Israël avait précédemment acceptée et accepte encore aujourd’hui. La partie américaine attend la réponse officielle du Hamas, qui sera transmise par l’intermédiaire des médiateurs qataris.
Pendant ce temps, des délégations américaines arrivent dans la région, puisque le conseiller principal de Biden, Brett McGurk, est au Caire, tandis que le directeur de la CIA, William Burns, discute à Doha des mécanismes de reprise des négociations avec le cheikh Mohammed bin Abdul Rahman Al Thani, le premier ministre et ministre de Affaires étrangères. Ministère des Affaires étrangères du Qatar.
Des informations indiquent que Doha accueillera une réunion tripartite entre l’Égypte, le Qatar et les États-Unis pour discuter de la reprise des négociations. Du côté israélien, l’Autorité israélienne de radiodiffusion a rapporté que le Conseil de guerre israélien demande des garanties aux États-Unis pour assurer la reprise de la guerre contre Gaza si le Hamas n’adhère pas à l’accord d’échange de prisonniers.
Parlant de la proposition d’accord, le président Biden a expliqué qu’elle comprend trois étapes, dont un cessez-le-feu à Gaza, la libération des détenus et la reconstruction de la bande de Gaza. Cependant, Israël n’a pas annoncé de position définitive, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu ayant exprimé des réserves sur certains points du discours de Biden.
Pour sa part, le Hamas a nié qu’Israël ait présenté de nouvelles propositions et a déclaré qu’Israël s’était opposé à la proposition présentée par les médiateurs égyptiens et qatariens en mai dernier, proposition sur laquelle le Hamas et les factions palestiniennes avaient accepté à l’époque.